Les P'tits Bateaux

Les patients portent-ils bien leur nom ? Combien d'entre nous, ont attendu de longues minutes chez le médecin, celui-ci étant invariablement en retard. Pour tenter d'en comprendre les raisons, Sophie Goettmann, dermatologue et chirurgienne, nous livre son expérience.

Camille s'interroge sur la drôle de forme de certains toits d'usines, pourquoi sont-ils en zigzag ? Quelle est leur utilité ? Pour lui répondre, Christine Leconte, architecte urbaniste.

Depuis tout temps, la lumière éclaire et fascine l'humanité. Le jeune Ulysse se pose une question que bon nombre de physiciens se sont posés : pourquoi ne peut-on enfermer la lumière ? Pour lui répondre Julien Bobroff, physicien et professeur à l'Université Paris-Saclay.

Louise, 4 ans, aimerait savoir si les anniversaires étaient célébrés au Moyen Âge. Pour lui répondre, l'historienne médiéviste Laurence Moulinier-Brogi nous plonge dans les mœurs de la vie médiévale.

Est-il vrai qu'on garde quelque part tous les livres ou les journaux qui sortent ? se demande Jean. Laurence Engel est experte en la matière, puisque présidente de la Bibliothèque Nationale de France de 2016 à 2024, elle lui répond. Et sans surprise, la réponse est oui, mais pourquoi ? Et comment ?

Aujourd’hui, César se demande comment on pèse les cachalots. François Sarano, qui est biologiste et qui plonge très souvent avec eux, lui répond.

Noémie, 14 ans, se demande si on peut méditer sans le savoir. Pour lui répondre, le spécialiste Christophe André !

Une, deux, trois ou quatre ? Et vous, combien de bises, faites-vous ? Marius s'interroge pourquoi le nombre de bises change-t-il suivant la région où l'on se trouve ? Pour tenter de l'éclairer, Mathieu Avanzi, linguiste et spécialiste des us et coutumes des régions françaises.

Le jeune Basile s'interroge sur l'utilité des bactéries qui se trouvent dans notre corps. Sont-elles bonnes ou mauvaises ? Pour lui répondre une spécialiste en microbiologie cellulaire, Pascale Cossart, biologiste.

Charlie, 6 ans, s'interroge sur ce petit détail qui compose le costume du plus grand des super-héros de comics. Si Superman a souvent eu un slip rouge, cela s'explique par un héritage vestimentaire qui remonte au XIXe siècle !

C’est la question posée sur le répondeur des P'tits bateaux. La botaniste, Catherine Lenne répond.

Léa s'interroge : comment les gens font-ils pour dessiner des personnes qui existent vraiment ? Pour lui répondre Pascal Torres, historien de l'art et conservateur en chef du musée du Louvre.

Le jeune Léo se pose une question qui, depuis tout temps, divise les scientifiques : quelle est l'origine de l'eau sur Terre ? Pour tenter de lui répondre, une spécialiste de l'eau, Charlène Descollonges, ingénieure hydrologue.

Aujourd'hui, Gabrielle, six ans et demi, se demande si les animaux réfléchissent comme les humains. La philosophe Vinciane Despret lui répond.

Mathieu se demande si on peut enlever complètement un tatouage. Notre expert, Jérôme Pierrat, est rédacteur en chef de Tatouage Magazine ; il nous répond que oui, un tatouage peut s'enlever. Oui, mais... il y a deux grands "mais" : ça fait très mal et ça coûte très cher.

La jeune Saloua s'interroge : quelles commodités pouvait-on trouver dans une maison, il y a 200 ans ? Correspondaient-elles au confort moderne que nous connaissons aujourd'hui ? Pour lui répondre un historien, spécialiste des innovations techniques, Olivier Jandot.

Et si oui, de quoi rêvent-ils précise serge, 9 ans au répondeur des P'tits bateaux ? La professeure Isabelle Arnulf, neurologue et chef du service des pathologies du sommeil à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris lui répond.

La petite Violette aimerait connaître les origines de la monnaie. L'équipe des P'tits Bateaux a convoqué un expert du sujet.

Aujourd'hui, Adèle, 6 ans, voudrait savoir si les pouvoirs magiques existent ? L'autrice et professeure de philosophie Marianne Chaillan lui répond.

Aujourd’hui, Anatole voudrait savoir de quelle matière est fait le scaphandre des volcanologues et est ce qu’il résiste lorsque-on trempe tremble la main dans la lave. Le volcanologue Patrick Allard lui répond.